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La Tchoukotka, l’endroit idéal pour observer les baleines
Entreprendre une aventure au bout du monde? Une telle décision exige une motivation exceptionnellement forte, par exemple pour aller à la rencontre des baleines grises ou celles à bosse. Chaque été, ces magnifiques créatures se précipitent dans le détroit Seniavine, à l’est de la Tchoukotka, en quête de krill et de plancton.
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Entreprendre une aventure au bout du monde? Une telle décision exige une motivation exceptionnellement forte, par exemple pour aller à la rencontre des baleines grises ou celles à bosse. Chaque été, ces magnifiques créatures se précipitent dans le détroit Seniavine, à l’est de la Tchoukotka, en quête de krill et de plancton.
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Dix titres de presse russes culte des années 1990
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Fenêtre sur la Russie
Dix magazines russes des années 1990 à grand succès
La chute de l’URSS inaugura non seulement une nouvelle ère politique, mais aussi informationnelle. Les adolescents qui, hier encore, portaient des foulards de pionnier découvrirent dans les media les rave-parties, le glamour et des sujets encore plus ou moins…
Comment le « kissel » a sauvé Belgorod contre un pillage par des nomades
En 997, les Petchénègues ont assiégé Belgorod Kievski sur la rivière Irpine, provoquant une famine en ville. Ne pouvant plus supporter la faim, les habitants ont alors décidé de se rendre à l’ennemi. Or, un vieillard s’y est opposé.
La Chronique des temps passés raconte que ce dernier a proposé de creuser deux puits et de poser dans l’un un tonneau avec du kissel fait à partir des restes de blé, d’avoine et de griot. Et dans l’autre le miel restant en ville.
Une fois cela fait, des représentants des Petchénègues ont été invités en ville. Ce qui suit leur a été alors annoncé : « Pourquoi cherchez-vous à périr ? Croyez-vous que vous pourrez durer plus longtemps que nous ? Même si le siège dure 10 ans, que nous ferez-vous ? C’est la terre qui nous nourrit. Si vous en doutez, venez voir ».
Devant les yeux des envoyés étonnés, les habitants de la ville se sont ainsi mis à puiser des seaux de miel et de kissel de puits. Ce « don de la terre » a ensuite été transmis aux chefs petchénègues, qui n’ont trouvé d’autre issue que de rappeler leurs troupes.
📷 Domaine public
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En 997, les Petchénègues ont assiégé Belgorod Kievski sur la rivière Irpine, provoquant une famine en ville. Ne pouvant plus supporter la faim, les habitants ont alors décidé de se rendre à l’ennemi. Or, un vieillard s’y est opposé.
La Chronique des temps passés raconte que ce dernier a proposé de creuser deux puits et de poser dans l’un un tonneau avec du kissel fait à partir des restes de blé, d’avoine et de griot. Et dans l’autre le miel restant en ville.
Une fois cela fait, des représentants des Petchénègues ont été invités en ville. Ce qui suit leur a été alors annoncé : « Pourquoi cherchez-vous à périr ? Croyez-vous que vous pourrez durer plus longtemps que nous ? Même si le siège dure 10 ans, que nous ferez-vous ? C’est la terre qui nous nourrit. Si vous en doutez, venez voir ».
Devant les yeux des envoyés étonnés, les habitants de la ville se sont ainsi mis à puiser des seaux de miel et de kissel de puits. Ce « don de la terre » a ensuite été transmis aux chefs petchénègues, qui n’ont trouvé d’autre issue que de rappeler leurs troupes.
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Affiches sportives du Moscou soviétique
Dans le nouveau livre de Ksenia Lapina et Natalia Afanassieva, Moscou en affiche, affiche à Moscou (éditions Bombora), sont présentées plus de 150 images faisant partie de la collection du Musée de Moscou. Voici une sélection consacrée à la promotion du sport.
Pour plus de détails, suivre le lien vers le site⛓️
📷 Musée de Moscou/images gentiment offertes par éditions Bombora
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Dans le nouveau livre de Ksenia Lapina et Natalia Afanassieva, Moscou en affiche, affiche à Moscou (éditions Bombora), sont présentées plus de 150 images faisant partie de la collection du Musée de Moscou. Voici une sélection consacrée à la promotion du sport.
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Quel sens se cache derrière l’expression russe « On ne gâchera pas de la bouillie avec du beurre »?
Une bonne chose par essence ne peut être malsaine en aucune circonstance! En suivant cette logique, nous pouvons dire en toute confiance: « On ne gâchera pas de la bouillie avec du beurre » (Кашу маслом не испортишь, kachou maslom nié isportich)!
Autrefois, en Russie, la bouillie était l’un des principaux plats du quotidien. Ce n’est pas pour rien que l’on disait : « La bouillie est notre mère, et le pain notre nourricier ». Aussi, à la fin du XIX siècle, l’expression « On ne gâchera pas de la bouillie avec du beurre » est apparue dans les dictionnaires explicatifs.
L’on croyait que le beurre ajouté aux céréales ne faisait que rendre la bouillie plus savoureuse. Il rendait le sarrasin ou le millet encore plus nourrissant et plus sain.
Cette expression a par conséquent commencé à être utilisée au sens figuré : quelque chose d’utile ne peut rien gâcher, même s’il y en a trop. D’ailleurs, lorsque les moyens financiers étaient limités et qu’il n’était pas possible d’y remédier, l’on utilisait aussi des comparaisons culinaires : « Malheur à nous qu’il y ait de la bouillie sans beurre ».
📷 Kira Lissitskaïa (Photo: Olha Afanasieva, max-kegfire/Getty Images)
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Une bonne chose par essence ne peut être malsaine en aucune circonstance! En suivant cette logique, nous pouvons dire en toute confiance: « On ne gâchera pas de la bouillie avec du beurre » (Кашу маслом не испортишь, kachou maslom nié isportich)!
Autrefois, en Russie, la bouillie était l’un des principaux plats du quotidien. Ce n’est pas pour rien que l’on disait : « La bouillie est notre mère, et le pain notre nourricier ». Aussi, à la fin du XIX siècle, l’expression « On ne gâchera pas de la bouillie avec du beurre » est apparue dans les dictionnaires explicatifs.
L’on croyait que le beurre ajouté aux céréales ne faisait que rendre la bouillie plus savoureuse. Il rendait le sarrasin ou le millet encore plus nourrissant et plus sain.
Cette expression a par conséquent commencé à être utilisée au sens figuré : quelque chose d’utile ne peut rien gâcher, même s’il y en a trop. D’ailleurs, lorsque les moyens financiers étaient limités et qu’il n’était pas possible d’y remédier, l’on utilisait aussi des comparaisons culinaires : « Malheur à nous qu’il y ait de la bouillie sans beurre ».
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Rejoignez Karolina dans son village pour vous occuper de ses poules, oies ou chèvres et vous relaxer au bania après une journée bien chargée 🐓🐐
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Trois raisons de voir le film Le Soleil blanc du désert
Cette œuvre de Vladimir Motyl est sortie sur grand écran le 30 mars 1970, devenant l’un des easterns soviétiques les plus populaires.
🔸Eastern soviétique classique
Westerns en Occident, easterns en URSS. Le sujet nous transporte dans la période suivant la Guerre civile russe. Le soldat de l’Armée rouge Soukhov rentre chez lui à travers les sables du Turkestan. Il se charge de conduire les femmes du harem du bandit Abdoullah dans le village de Pedjent, au bord de la Caspienne, pour leur sauver la vie.
Selon une légende, ce film serait arrivé sur grand écran grâce à l’amour de Léonid Brejnev pour les films d’action. D’ailleurs, le film l’a plus que satisfait. Rien qu’au cours de la première année suivant sa sortie en salles, Le Soleil blanc du désert a été visionné par plus de 50 millions de Soviétiques. Les droits de diffusion ont été achetés par 130 pays, dont les États-Unis. Les aventures de Soukhov ont été suivies même pas les astronautes américains.
🔸 Ce film est visionné par les cosmonautes en prévision d’un vol
Le cosmonaute Gueorgui Gretchko se rappelait que les médecins lui avaient conseillé de voir, la veille de son vol, un film léger pour se distraire. D’abord, le choix est tombé sur la comédie Trente-trois de Gueorgui Danielia. Cependant, Alexeï Leonov a assisté à une projection privée de l’eastern et est parvenu à obtenir une copie pour le Centre d’entrainement des cosmonautes.
« Tu sais que la surcharge, l’apesanteur et le danger, qui peut même être mortel, te guettent dans l’espace. Et tu apprends du soldat de l’Armée rouge Soukhov comment agir dans une situation dangereuse. Sans perdre sa présence d’esprit, il faut résister jusqu’au bout tout en gardant son sens de l’humour », témoignait Gretchko.
Ce film est considéré comme une sorte de gardien des cosmonautes : il est apparu dans la filmothèque du Centre d’entraînement après la perte tragique de l’équipage du Soyouz-11 – depuis, aucun homme de l’espace soviétique ou russe n’a péri.
🔸Entendre en VO les phrases entrées dans le langage commun
« Je n’ai pas de chance dans la mort, j’aurai une chance dans l’amour », « L’Orient est une affaire fine », « Gioultchitaï, montre ton petit visage » – ces phrases et bien d’autres issues du film sont toujours employées par les Russes.
📷 Vladimir Motyl/Mosfilm, 1970 ; Sputnik
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Cette œuvre de Vladimir Motyl est sortie sur grand écran le 30 mars 1970, devenant l’un des easterns soviétiques les plus populaires.
🔸Eastern soviétique classique
Westerns en Occident, easterns en URSS. Le sujet nous transporte dans la période suivant la Guerre civile russe. Le soldat de l’Armée rouge Soukhov rentre chez lui à travers les sables du Turkestan. Il se charge de conduire les femmes du harem du bandit Abdoullah dans le village de Pedjent, au bord de la Caspienne, pour leur sauver la vie.
Selon une légende, ce film serait arrivé sur grand écran grâce à l’amour de Léonid Brejnev pour les films d’action. D’ailleurs, le film l’a plus que satisfait. Rien qu’au cours de la première année suivant sa sortie en salles, Le Soleil blanc du désert a été visionné par plus de 50 millions de Soviétiques. Les droits de diffusion ont été achetés par 130 pays, dont les États-Unis. Les aventures de Soukhov ont été suivies même pas les astronautes américains.
🔸 Ce film est visionné par les cosmonautes en prévision d’un vol
Le cosmonaute Gueorgui Gretchko se rappelait que les médecins lui avaient conseillé de voir, la veille de son vol, un film léger pour se distraire. D’abord, le choix est tombé sur la comédie Trente-trois de Gueorgui Danielia. Cependant, Alexeï Leonov a assisté à une projection privée de l’eastern et est parvenu à obtenir une copie pour le Centre d’entrainement des cosmonautes.
« Tu sais que la surcharge, l’apesanteur et le danger, qui peut même être mortel, te guettent dans l’espace. Et tu apprends du soldat de l’Armée rouge Soukhov comment agir dans une situation dangereuse. Sans perdre sa présence d’esprit, il faut résister jusqu’au bout tout en gardant son sens de l’humour », témoignait Gretchko.
Ce film est considéré comme une sorte de gardien des cosmonautes : il est apparu dans la filmothèque du Centre d’entraînement après la perte tragique de l’équipage du Soyouz-11 – depuis, aucun homme de l’espace soviétique ou russe n’a péri.
🔸Entendre en VO les phrases entrées dans le langage commun
« Je n’ai pas de chance dans la mort, j’aurai une chance dans l’amour », « L’Orient est une affaire fine », « Gioultchitaï, montre ton petit visage » – ces phrases et bien d’autres issues du film sont toujours employées par les Russes.
📷 Vladimir Motyl/Mosfilm, 1970 ; Sputnik
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Nous vous invitons une nouvelle fois à nous suivre dans « un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître » ! Celui où l’on trouvait encore des cabines téléphoniques, isolées ou installées par 2, 5, 10 ou même 20, dans les villes soviétiques.
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Fenêtre sur la Russie
Objet du mois: le taxophone, aujourd’hui totalement disparu du paysage urbain
Dans un pays comme l’URSS où l’installation de lignes téléphoniques dans les appartements se fit lentement, les taxophones se substituèrent longtemps aux téléphones privés. Dès les années 1960, on trouvait des cabines à tous les coins de rue des grandes villes.…
Dans les années 1930, un village de datchas pour les écrivains fut construit dans le lieu-dit de Peredelkino, au sud-ouest de Moscou. Après la Grande Guerre patriotique, il fut décidé de construire un lotissement pour les membres de l’Académie des Sciences de l’URSS entre une forêt et une rivière de l’ouest de Moscou. Les meilleurs scientifiques du pays y avaient la jouissance de maisons d’un étage avec toutes les conditions de confort.
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En images: Mozjinka, village de villégiature des membres de l’Académie des Sciences de l’URSS
Dans le village de Mozjinka, situé à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Moscou, les scientifiques les plus brillants de l’URSS pouvaient travailler et se reposer dans un cadre bucolique. Les conditions de vie y étaient peut-être meilleures qu’en…
« Чем не подарок? », « Город как город »... Découvrez des phraséologismes syntaxiques d'évaluation en suivant le lien vers notre site ⛓️
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Fenêtre sur la Russie
Ces expressions qui vous aideront à défendre ardemment votre point de vue en russe
Cette fois, nous allons parler des phraséologismes syntaxiques d'évaluation – ce nom peut sembler compliqué, mais vous ne pouvez pas vous en passer dans une argumentation ou un échange d'opinions.